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The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Reseau Souss MIMOUNI شبكة سوس :: تدوينات الميموني للنوابغ :: الميموني :ميدان مواجهة بين العباقرة والمتطفلين :: نقاش أعضاء شبكة سوس الافتراضية
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The curse of oil بترول (نفط) النعلة
The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Le petrole est une manne de Dieu pour les citoyens de ce monde, or, il n'en est pas toujours le cas.
rares sont les pays qui ont pu permettre a leurs cotoyens de profiter de ce don naturel aujourd'hui
enrichissant et anoblissant.
La constatation qui va suivre ne peut evidemment qu'attribuer a cette source le titre de '' PETROLE DE MALEDICTION''
faraday- Messages : 72
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Re: The curse of oil بترول (نفط) النعلة
faraday a écrit:The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Le petrole est une mane de Dieu pour les citoyens de ce monde, or, il n'en est pas toujours le cas.
rares sont les pays qui ont pu permettre a leurs cotoyens de profiter de ce don naturel aujourd'hui
enrichissant et anoblissant.
La constatation qui va suivre ne peut evidemment qu'attribuer a cette source le titre de '' PETROLE DE MALEDICTION''
source de ce topic:
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faraday- Messages : 72
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victimes de leur petrole
Notons d'abord qu'il y a des pays victimes de leur petrole ou leurs mierais comme c'est le cas de l'Irak, le Congo, le Nigerai, et bien d'autres pays, ou encore le Maroc dont quelques puissances lui refuse le droit de disposer de ses espaces, et bien sure, ils craignent que le Maroc n'affament le monde en monopolisant le phosphate.
heureusement que le maroc a fait face honorablement a ces jaloux et mafieux
heureusement que le maroc a fait face honorablement a ces jaloux et mafieux
faraday- Messages : 72
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Re: The curse of oil بترول (نفط) النعلة
L'Algerie a engrangé en 2008 plus de 70 MILLIARDS DE DOLLARS en Hydrocarbures et plus de 50 MILLIARDS EN 2009 et ça continue ...
Des millions de milliards qui rentrent dans les caisses Algeriennes chaque seconde et pourtant rien n'apparait en tant que richesse sur le citoyen Algerien ou en tant qu'infrastructures sur le pays.
Tous les chantiers ouverts ou programmés ne sont en general jamais achevés ou totalement abondonnées, c'est le cas des autoroutes, logements, rasage des bidonvilles, chomage, agriculture, industrie .. c'est le fiasco total.
Des millions de milliards qui rentrent dans les caisses Algeriennes chaque seconde et pourtant rien n'apparait en tant que richesse sur le citoyen Algerien ou en tant qu'infrastructures sur le pays.
Tous les chantiers ouverts ou programmés ne sont en general jamais achevés ou totalement abondonnées, c'est le cas des autoroutes, logements, rasage des bidonvilles, chomage, agriculture, industrie .. c'est le fiasco total.
faraday- Messages : 72
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Ou vont les milliers de milliards Algeriens?
Ou vont les milliers de milliards Algeriens?
L'essentiel des recettes en petrole et gaz Algerien est depensé pour l'achat d'armement russe dans la majeure partie des cas non compatible avec le besoin Algerien pour sa defense, le cas des sous marins en nombre et avions en centaines, chars en milliers alors que personne n'a de conflit avec le pays.
L'on pourrait donc croire que le but de l'achat de cet arsenal vite démodé technologiquement est la ciorruption ou la dime reçu par les intermediares et qui sont toujours sous casquettes de l'armée
L'essentiel des recettes en petrole et gaz Algerien est depensé pour l'achat d'armement russe dans la majeure partie des cas non compatible avec le besoin Algerien pour sa defense, le cas des sous marins en nombre et avions en centaines, chars en milliers alors que personne n'a de conflit avec le pays.
L'on pourrait donc croire que le but de l'achat de cet arsenal vite démodé technologiquement est la ciorruption ou la dime reçu par les intermediares et qui sont toujours sous casquettes de l'armée
faraday- Messages : 72
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Re: The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Et comme dit un proverbe Arabe:
les habitants de la mecque connaissent mieux quiconque ses ruelles
Alors laissons parler les Algeriens:
L'Algérie a engrangé plus de 34 milliards de dollars grâce aux hydrocarbures durant les dix premiers mois de 2009, a indiqué hier le PDG de la société nationale Sonatrach, Mohamed Meziane. ”Les recettes des hydrocarbures réalisées de janvier jusqu'à fin octobre 2009 ont atteint environ 34,5 milliards de dollars”, a précisé M. Meziane dans une déclaration à l'agence APS. Le ministre algérien de l'Energie, Chakib Khelil, avait indiqué en avril que les recettes pétrolières de l'Algérie pourraient s'établir à 40 milliards de dollars en 2009 contre plus de 75 milliards de dollars en 2008, chiffre record obtenu en raison de l'envolée du prix du baril qui avait atteint en milieu d'année près de 150 dollars.
les habitants de la mecque connaissent mieux quiconque ses ruelles
Alors laissons parler les Algeriens:
L'Algérie a engrangé plus de 34 milliards de dollars grâce aux hydrocarbures durant les dix premiers mois de 2009, a indiqué hier le PDG de la société nationale Sonatrach, Mohamed Meziane. ”Les recettes des hydrocarbures réalisées de janvier jusqu'à fin octobre 2009 ont atteint environ 34,5 milliards de dollars”, a précisé M. Meziane dans une déclaration à l'agence APS. Le ministre algérien de l'Energie, Chakib Khelil, avait indiqué en avril que les recettes pétrolières de l'Algérie pourraient s'établir à 40 milliards de dollars en 2009 contre plus de 75 milliards de dollars en 2008, chiffre record obtenu en raison de l'envolée du prix du baril qui avait atteint en milieu d'année près de 150 dollars.
faraday- Messages : 72
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Algérie-corruption pétrolière : Où va une partie des recettes ?
Algérie-corruption pétrolière : Où va une partie des recettes ?
Un nouveau rapport de Transparency International démontre que les compagniespétrolières et gazières devraient mieux rendre compte de leurs paiements faits aux Etats
Dans le Rapport 2008 sur les Performances des Compagnies Pétrolières et Gazières, premier du genre et qui vient d’être rendu public, Transparency international (TI), ONG de lutte contre la corruption, évalue 42 des principales compagnies internationales et nationales, dont SONATRACH opérant dans 21 pays, dont l’Algérie, en matière de transparence, .........
La Sonatrach en très mauvaise position Ce Rapport sur la transparence des revenus des Compagnies gazières et pétrolières utilise une série d’indicateurs fiables pour mesurer et comparer le degré de transparence des revenus qu’affichent actuellement une sélection d’entreprises de l’industrie du gaz et du pétrole.La Compagnie algérienne SONATRACH obtient de très mauvaises performances, ce qui n’est pas une surprise, au vu de l’opacité qui caractérise la gestion de cette entreprise et des scandales de corruption qui y ont éclaté (affaire BRC, octroi de marchés publics, achat et constructions des tours d’Hydra, actuel siège du ministère de l’énergie et des mines, etc.), et surtout du fait du haut niveau de corruption qui prévaut au sein des Institutions de l’Etat algérien.L’étude définit trois groupes d’entreprises réalisant des performances élevées, moyennes ou faibles en termes de transparence. Ce classement peut permettre à certaines entreprises de faire pression sur leurs concurrents afin qu’ils s’alignent sur des standards de transparence élevés, plaçant ainsi l’ensemble des entreprises de l’industrie pétrolière et gazière sur un pied d’égalité. Un tel effort constitue un impératif pour l’industrie. Il faut également noter que malgré les efforts entrepris pour associer les entreprises à tous les stades de l’étude, plus de 30 entreprises, dont Sonatrach, ont choisi de ne pas procéder à la vérification de leurs résultats.
http://www.lematindz.net/news/1465-algerie-corruption-petroliere-ou-va-une-…
show_eval(1,1458,"Point(s)","\u00c9valuer","Moins","Plus","5209e3a02ee295bec6250b72ad57691f");
Un nouveau rapport de Transparency International démontre que les compagniespétrolières et gazières devraient mieux rendre compte de leurs paiements faits aux Etats
Dans le Rapport 2008 sur les Performances des Compagnies Pétrolières et Gazières, premier du genre et qui vient d’être rendu public, Transparency international (TI), ONG de lutte contre la corruption, évalue 42 des principales compagnies internationales et nationales, dont SONATRACH opérant dans 21 pays, dont l’Algérie, en matière de transparence, .........
La Sonatrach en très mauvaise position Ce Rapport sur la transparence des revenus des Compagnies gazières et pétrolières utilise une série d’indicateurs fiables pour mesurer et comparer le degré de transparence des revenus qu’affichent actuellement une sélection d’entreprises de l’industrie du gaz et du pétrole.La Compagnie algérienne SONATRACH obtient de très mauvaises performances, ce qui n’est pas une surprise, au vu de l’opacité qui caractérise la gestion de cette entreprise et des scandales de corruption qui y ont éclaté (affaire BRC, octroi de marchés publics, achat et constructions des tours d’Hydra, actuel siège du ministère de l’énergie et des mines, etc.), et surtout du fait du haut niveau de corruption qui prévaut au sein des Institutions de l’Etat algérien.L’étude définit trois groupes d’entreprises réalisant des performances élevées, moyennes ou faibles en termes de transparence. Ce classement peut permettre à certaines entreprises de faire pression sur leurs concurrents afin qu’ils s’alignent sur des standards de transparence élevés, plaçant ainsi l’ensemble des entreprises de l’industrie pétrolière et gazière sur un pied d’égalité. Un tel effort constitue un impératif pour l’industrie. Il faut également noter que malgré les efforts entrepris pour associer les entreprises à tous les stades de l’étude, plus de 30 entreprises, dont Sonatrach, ont choisi de ne pas procéder à la vérification de leurs résultats.
http://www.lematindz.net/news/1465-algerie-corruption-petroliere-ou-va-une-…
show_eval(1,1458,"Point(s)","\u00c9valuer","Moins","Plus","5209e3a02ee295bec6250b72ad57691f");
faraday- Messages : 72
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Données stratégiques sur l'Algérie:
Données stratégiques sur l'Algérie:
La durée de vie des réserves récupérables est de 30 ans.
Les réserves de liquide (pétrole plus condensat) récupérables atteignent 16 milliards de barils. Au rythme de production de 1,7 million de barils/jour, la durée de vie des réserves est de 30 ans.
Le récent gisement sera développé au cours des prochaines années, sera exploité par Sonatrach et la compagnie américaine El-Merk aura une capacité de 108 000 barils/jour à comparer avec Ourghoud 230 000 barils/jour et HBNS et champs satellites 240 000 barils/jour.
Le champ de Hassi-Messaoud 500 000 à 600 000 barils/jour pendant au moins 40 ans, contre un rythme actuel de 400 000 barils/jour ( ...!...)
Les États-Unis sont le plus gros acheteur de brut algérien
***************************************************************
A cet égard, des voix s'élèvent et s'interrogeant sur la destination de ces milliards de dollars qui renflouent les caisses de l'Etat.
''Je ne comprends pas qu'au moment où les milliards de dollars arrivent à flots dans les caisses de l'Etat, la misère s'accentue davantage. C'est vraiment un doute total quant à une utilisation rationnelle de cette manne au service du peuple algérien'', déclare à IPS, Chabane Mohamed, 30 ans, ingénieur en électronique et au chômage depuis trois ans.
L'Association algérienne de lutte contre la corruption, qui est une section de Transparency International, partage le même scepticisme. "La manne pétrolière entre les mains du pouvoir ne contribue qu'à entretenir cette corruption, et les 60 milliards de dollars qu'a débloqués le gouvernement pour la reconstruction des infrastructures publiques sont la proie des prédateurs", affirme-t-elle dans un communiqué rendu public récemment.
http://www.forum-algerie.com
La durée de vie des réserves récupérables est de 30 ans.
Les réserves de liquide (pétrole plus condensat) récupérables atteignent 16 milliards de barils. Au rythme de production de 1,7 million de barils/jour, la durée de vie des réserves est de 30 ans.
Le récent gisement sera développé au cours des prochaines années, sera exploité par Sonatrach et la compagnie américaine El-Merk aura une capacité de 108 000 barils/jour à comparer avec Ourghoud 230 000 barils/jour et HBNS et champs satellites 240 000 barils/jour.
Le champ de Hassi-Messaoud 500 000 à 600 000 barils/jour pendant au moins 40 ans, contre un rythme actuel de 400 000 barils/jour ( ...!...)
Les États-Unis sont le plus gros acheteur de brut algérien
***************************************************************
A cet égard, des voix s'élèvent et s'interrogeant sur la destination de ces milliards de dollars qui renflouent les caisses de l'Etat.
''Je ne comprends pas qu'au moment où les milliards de dollars arrivent à flots dans les caisses de l'Etat, la misère s'accentue davantage. C'est vraiment un doute total quant à une utilisation rationnelle de cette manne au service du peuple algérien'', déclare à IPS, Chabane Mohamed, 30 ans, ingénieur en électronique et au chômage depuis trois ans.
L'Association algérienne de lutte contre la corruption, qui est une section de Transparency International, partage le même scepticisme. "La manne pétrolière entre les mains du pouvoir ne contribue qu'à entretenir cette corruption, et les 60 milliards de dollars qu'a débloqués le gouvernement pour la reconstruction des infrastructures publiques sont la proie des prédateurs", affirme-t-elle dans un communiqué rendu public récemment.
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faraday- Messages : 72
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Le petrole au service de la honte
L'on peut constater aujourd'hui que les citoyens Algériens se contonnent sur 10 °/° du territoire Algerien le long des dizaines de kms qui bordent l'Algerie coté mer mediterrannée.
La presque totalité donc de l'Algerie est inhabitée et inexploitée a l'exception des bases militaires bien garnies qui peuplent les régions et 2 provinces bien distinctes:
tamanrasset:
Zone ou pillulent des gens de toutes provenances et dont leur activité n'est autre que la contrebande en tout genre et le terrorisme.
TINDOUF:
Un pays dans le pays ou plutot uen prison a ciel ouvert, zone grandiose sous le commandement de generaux algeriens qui dirigent uen republique fantomatique dont les citoyens sont a 80°/° africains du sahel et dont le but et d'essouffler les voisins immediat de l'algerie ..
manque de pot , c'est l'Algerie qui s'essoufle
La presque totalité donc de l'Algerie est inhabitée et inexploitée a l'exception des bases militaires bien garnies qui peuplent les régions et 2 provinces bien distinctes:
tamanrasset:
Zone ou pillulent des gens de toutes provenances et dont leur activité n'est autre que la contrebande en tout genre et le terrorisme.
TINDOUF:
Un pays dans le pays ou plutot uen prison a ciel ouvert, zone grandiose sous le commandement de generaux algeriens qui dirigent uen republique fantomatique dont les citoyens sont a 80°/° africains du sahel et dont le but et d'essouffler les voisins immediat de l'algerie ..
manque de pot , c'est l'Algerie qui s'essoufle
faraday- Messages : 72
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Base Americaine en Algerie .. se confirme peu a peu
Différentes source d’informations se recoupant permettent maintenant de localiser précisément cette base américaine.
Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit exact où les douristes, allemands, suisses et autrichiens avaient été enlevé le 18 août 2003.
Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement de cette base :
- Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS du CPMI. Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le « Quotidien d’Oran » en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les « révélations » faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.
- Le général Abdelmajid Saheb, qui dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.
Mais il y a encore plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.
Il s’agit « d’Executive Outcomes, » ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS. Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.
Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération :
Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.
Le capitaine Stefan Desmond. Ancien officier du contre-espionnage sud-africain. Expert en armes chimiques et en explosifs, il aurait supervisé le largage de gaz de combat sur des maquis islamistes en Algérie. Chargé de la sécurité intérieure d’Executive Outcomes, on le présente aussi comme un spécialiste de la torture dite « scientifique. » Les Français ont quelques raisons de lui en vouloir car il a monté des mises en scène macabres de prétendus charniers de l’armée française. Les squelettes, supposés remonter à l’époque coloniale, avaient les mains attachées dans le dos par du fil de fer. Étrangement, et en dépit des années, aucune piqûre de rouille ne marquait le métal. Desmond est très proche du colonel Othman Tartag, dit Bachir, le chef du CPMI (3) et successeur à ce poste du général Kamel Abderrahamane (voir plus haut). Très brun et les cheveux frisés, Desmond se fait passer pour un Égyptien quand il doit se fondre dans l’environnement.
Le commandant Uri Barsony. Il met en valeur une autre facette de la politique algérienne: les liens tissés entre Alger et les Israéliens. Si Barsony est un ancien officier supérieur sud-africain, il a aussi la nationalité israélienne. Il supervise l’entraînement des hommes d’Executive Outcomes et celui des Forces spéciales algériennes à Biskra. Mais, surtout, c’est lui qui effectue les achats d’armement sur le marché israélien, en particulier les lunettes de vision nocturne, autrefois fournies par les Français, et le napalm, plusieurs fois utilisé dans les montagnes de Kabylie. Barsony travaille en étroites relations avec le Shin Beth, le contre-espionnage israélien. Il s’est rendu à de nombreuses reprises, afin d’y enquêter, sur l’île de Jerba (Tunisie), après l’attentat commis contre la synagogue (avril 2001, 21 morts).
En outre, Barsony apparaît comme l’un des principaux responsables des liens nouvellement tissés entre l’Algérie et Israël. Très proche du général Sadek Kitouni, ancien ambassadeur d’Algérie en Afrique du Sud, il a travaillé avec lui à la création d’une « Association d’amitié et de solidarité économique Algérie-Israël, » installée à Alger.
Barsony n’est pas seul à s’activer en faveur du rapprochement entre Israël et l’Algérie. Déjà cité, son collègue Damink a organisé un voyage en Italie au cours duquel Abdelaziz Bouteflika, le Président de la République, a rencontré Dany Yatom, l’ancien patron du Mossad (5). Il a aussi mis sur pied des stages de formation d’officiers de la DRS (2) au centre du Mossad basé dans la banlieue de Tel-Aviv.
On mesure l’importance prise par les mercenaires sud-africains en Algérie. On se demande cependant la raison de leur présence autour d’une base perdue dans le désert.
Uri Barsony donne, à qui veut l’entendre, trois raisons: La lutte contre l’islamisme, la protection des champs de pétrole, et celle des gisements d’uranium.
Manque de chance. L’affaire d’otages est sans doute montée par les services algériens dans la région de la base d’Ihérir, et quant aux champs de pétrole, ils sont à plus de 300 km et les mines d’uranium sont dans un autre pays, le Niger, à 700 km.
http://mecanopolis.wordpress.com
Elle est située à côté de l’oasis d’Ihérir, à 110 km nord-ouest de Djanet, et à 220 km de la frontière libyenne dans le Tassili des Adjer. A 120 km au nord, se trouve la bourgade d’Illizi, l’endroit exact où les douristes, allemands, suisses et autrichiens avaient été enlevé le 18 août 2003.
Deux généraux algériens jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement de cette base :
- Le général Kamel Abderrahmane, ancien colonel à la DRS du CPMI. Il dirige aujourd’hui la deuxième région militaire, celle d’Oranie. Il a été chargé de la couverture médiatique de l’affaire des otages et de celle de l’installation de la base américaine. Il aurait acheté le « Quotidien d’Oran » en se servant d’un prête-nom. Ceci expliquerait les « révélations » faites par ce journal sur le prétendu plan anterroriste américain.
- Le général Abdelmajid Saheb, qui dirige depuis 1999 la 4ème région militaire, comprenant Ouargla et Djanet. Il a reçu pour mission d’assurer la coordination du transport des engins et équipements nécessaires à l’installation de la base. Chef de la région depuis quatre ans, il la connaît bien pour avoir été l’adjoint du commandant précédent. Il a en outre effectué plusieurs déplacements aux Etats-Unis pour recevoir des instructions.
Mais il y a encore plus surprenant. L’armée américaine ne peut suffire à la tâche, assignée par le commandement, de quadrillage de la planète. Ceci explique le recours à une entreprise, fournissant des mercenaires, pour assurer la sécurité de la base.
Il s’agit « d’Executive Outcomes, » ou du moins de ses héritiers. Cette société jouit d’une unité de travail à la caserne algéroise de Ben Aknoun, là où se tient la DRS. Elle dispose aussi d’un bureau de liaison à Ouargla, siège de la 4ème région militaire dirigée par le général Abdelmajid Saheb.
Nous avons obtenu quelques noms des cadres oeuvrant en Algérie dans le cadre de cette opération :
Le commandant Emanuel Damink. Ancien des renseignements sud-africains sous le régime de l’apartheid, il a la charge du recrutement et de la collecte des renseignements sur les réseaux islamistes dans le monde. Entre autres missions, il a lui-même assuré l’évacuation vers les États-Unis de pièces d’équipements nucléaires entreposées par l’Irak sur le sol algérien. Ce transfert était une condition impérative au maintien des bonnes relations entre Alger et Washington.
Le capitaine Stefan Desmond. Ancien officier du contre-espionnage sud-africain. Expert en armes chimiques et en explosifs, il aurait supervisé le largage de gaz de combat sur des maquis islamistes en Algérie. Chargé de la sécurité intérieure d’Executive Outcomes, on le présente aussi comme un spécialiste de la torture dite « scientifique. » Les Français ont quelques raisons de lui en vouloir car il a monté des mises en scène macabres de prétendus charniers de l’armée française. Les squelettes, supposés remonter à l’époque coloniale, avaient les mains attachées dans le dos par du fil de fer. Étrangement, et en dépit des années, aucune piqûre de rouille ne marquait le métal. Desmond est très proche du colonel Othman Tartag, dit Bachir, le chef du CPMI (3) et successeur à ce poste du général Kamel Abderrahamane (voir plus haut). Très brun et les cheveux frisés, Desmond se fait passer pour un Égyptien quand il doit se fondre dans l’environnement.
Le commandant Uri Barsony. Il met en valeur une autre facette de la politique algérienne: les liens tissés entre Alger et les Israéliens. Si Barsony est un ancien officier supérieur sud-africain, il a aussi la nationalité israélienne. Il supervise l’entraînement des hommes d’Executive Outcomes et celui des Forces spéciales algériennes à Biskra. Mais, surtout, c’est lui qui effectue les achats d’armement sur le marché israélien, en particulier les lunettes de vision nocturne, autrefois fournies par les Français, et le napalm, plusieurs fois utilisé dans les montagnes de Kabylie. Barsony travaille en étroites relations avec le Shin Beth, le contre-espionnage israélien. Il s’est rendu à de nombreuses reprises, afin d’y enquêter, sur l’île de Jerba (Tunisie), après l’attentat commis contre la synagogue (avril 2001, 21 morts).
En outre, Barsony apparaît comme l’un des principaux responsables des liens nouvellement tissés entre l’Algérie et Israël. Très proche du général Sadek Kitouni, ancien ambassadeur d’Algérie en Afrique du Sud, il a travaillé avec lui à la création d’une « Association d’amitié et de solidarité économique Algérie-Israël, » installée à Alger.
Barsony n’est pas seul à s’activer en faveur du rapprochement entre Israël et l’Algérie. Déjà cité, son collègue Damink a organisé un voyage en Italie au cours duquel Abdelaziz Bouteflika, le Président de la République, a rencontré Dany Yatom, l’ancien patron du Mossad (5). Il a aussi mis sur pied des stages de formation d’officiers de la DRS (2) au centre du Mossad basé dans la banlieue de Tel-Aviv.
On mesure l’importance prise par les mercenaires sud-africains en Algérie. On se demande cependant la raison de leur présence autour d’une base perdue dans le désert.
Uri Barsony donne, à qui veut l’entendre, trois raisons: La lutte contre l’islamisme, la protection des champs de pétrole, et celle des gisements d’uranium.
Manque de chance. L’affaire d’otages est sans doute montée par les services algériens dans la région de la base d’Ihérir, et quant aux champs de pétrole, ils sont à plus de 300 km et les mines d’uranium sont dans un autre pays, le Niger, à 700 km.
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faraday- Messages : 72
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Re: The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Septembre 2010:
Le Canard enchaîné a livré, dans sa dernière édition, une révélation sur une base américaine secrète en Algérie.
L’information est très importante, encore que décalée. Elle a le mérite de lever un black-out sur cette question, observée avec rigueur, autant par la presse algérienne, pour les raisons évidentes que l’on sait, que par la presse française, qui ne s’intéresse à nos histoires que dans la mesure où elles pourraient les concerner directement.
Le Canard enchaîné a livré, dans sa dernière édition, une révélation sur une base américaine secrète en Algérie.
L’information est très importante, encore que décalée. Elle a le mérite de lever un black-out sur cette question, observée avec rigueur, autant par la presse algérienne, pour les raisons évidentes que l’on sait, que par la presse française, qui ne s’intéresse à nos histoires que dans la mesure où elles pourraient les concerner directement.
faraday- Messages : 72
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Re: The curse of oil بترول (نفط) النعلة
Structure militaire Algerienne:
Le pays est divisé en six Régions militaires, chacune comprenant un quartier-général.
Chaque commandement régional est responsable de l'administration des infrastructures militaires,
de la logistique, du logement et de la formation des conscrits.
le pouvoir de l'armée dans le pays forme également un binôme très complexe avec le pouvoir politique grâce à
l'influence du DRS (services de renseignements)
Le pays est divisé en six Régions militaires, chacune comprenant un quartier-général.
Chaque commandement régional est responsable de l'administration des infrastructures militaires,
de la logistique, du logement et de la formation des conscrits.
le pouvoir de l'armée dans le pays forme également un binôme très complexe avec le pouvoir politique grâce à
l'influence du DRS (services de renseignements)
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