La bombe Algerienne c'est pour quand, pourqui et pourquoi ?

La bombe Algerienne c'est pour quand, pourqui et pourquoi ?

La bombe Algerienne c'est pour quand, pourqui et pourquoi ?
Citataion ''MIMOUNI''
source:
Bruno Tertrais : l'Algérie veut-elle l'arme atomique?
“L’Algérie est un autre candidat possible au statut de puissance nucléaire. Ses capacités dans ce domaine sont peu connues, mais pourtant bien réelles.

Le programme secret conduit par l’armée algérienne n’a été découvert que très tard. Quelles étaient les intentions d’Alger ? Du point de vue d’un ancien ministre en fonction à l’époque – mais qui n’avait pas été tenu au courant du programme – cela ne fait aucun doute : les militaires voulaient disposer d’une « option nucléaire ».
Des moyens financiers gigantesques, une gestion administrative du pays peu visible , un budget collossale attribué aux recherches dans les universités, des militaires disposant de beaucoup d'autorité et de prestige, d'argent et pouvoir, des installations d'essais laissées par l'armée Française dans le sahara durant la periode de la colonisation, un certain rapprochement avec l'Iran et similaires , tout cela laisse supposer que l'Algerie travaille sur l'atome militaire

L’Algérie s’apprêtait alors à mettre en service le réacteur d’es-Salam. La révélation publique de l’existence du réacteur la força à déclarer son existence à l’AIEA et de le mettre sous le contrôle de l’Agence. Sans doute les dirigeants algériens n’avaient-ils guère le choix : le gouvernement était en difficulté, et dépendant de l’assistance étrangère.

Mais les questions relatives au programme algérien restent d’autant plus pertinentes qu’après la mise en service du réacteur es-Salam, Pékin a poursuivi sa coopération avec Alger au travers de deux contrats signés en 1996, qui concernaient la production d’isotopes et la construction de cellules chaudes.

Le réacteur étant opérationnel depuis 1992, l’Algérie pourrait disposer aujourd’hui de combustible irradié ayant refroidi plus de dix ans, ce qui rendrait sa manipulation plus facile. (Il est possible que certaines barres de combustible auraient été retirées sans que l’AIEA soit avertie.)

Au regard des sources publiques, le statut exact des capacités actuelles de l’Algérie en matière de séparation de plutonium reste incertain. Plusieurs bâtiments du complexe d’Aïn Oussera ont été identifiés par des analystes comme pouvant accueillir de telles installations – mais l’AIEA n’y a pas eu accès. Un analyste israélien parle de capacités « dormantes » mais réelles.

L’Algérie dispose également d’une usine de fabrication de combustible, et de réserves d’uranium significatives. Elle est ainsi l’un des seuls pays du Moyen-Orient qui pourrait prétendre à un programme nucléaire entièrement autonome.

Certes, Alger n’a probablement pas de raison immédiate de lancer ou de relancer des activités dédiées au nucléaire militaire. De fait, en dépit de relations traditionnellement difficiles avec certains de ses voisins (Libye, Maroc), aucun d’entre eux ne constitue aujourd’hui une menace militaire immédiate. Alger prétend d’ailleurs ne pas être intéressée par l’enrichissement ou le retraitement.

Mais les caractéristiques de son programme, son soutien ouvert à l’Iran, et son refus de souscrire au Protocole additionnel de vérification de l’AIEA, attisent les soupçons et ne peuvent que conduire à la conclusion que l’Algérie doit être classée dans les pays « à risque » du point de vue de la prolifération. (Le texte du protocole additionnel concernant ce pays a été approuvé par l’AIEA en 2004, mais, cinq ans plus tard, ce texte n’avait toujours pas été ratifié par les autorités locales. Le moins que l’on puisse dire est qu’Alger ne semble pas pressé de voir les inspecteurs de l’Agence mettre leur nez dans ses installations nucléaires.) Pour des raisons de statut, elle pourrait ne pas vouloir laisser l’Arabie Saoudite, et surtout l’Égypte, devenir la première puissance nucléaire arabe. Un éventuel programme nucléaire militaire pourrait aussi contribuer, comme cela a été le cas au Pakistan par le passé, à garantir la pérennité du contrôle de l’armée sur le régime…”

Secret Defense/ Liberation.fr

Photos des reacteurs Algeriens:

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L'apparition d'une bombe atomique dans le Nord afrique ne surprendra pas beaucoup de gens.
L'Algerie n'a jamais caché ses ambitions militaires de devenir la première force dans le tiers monde et fait tout pour y arriver, des soupçons et indices laissent aussi croire que la junte militaire a des projets nucléaires (voir mimouni: la bombe Algerienne c'est pour quand et pour qui?) a cela s'ajoute biensue, les champs et les installations d'essais laossés par la France dans le desert Algerien.
Le Commissariat à l'Energie atomique (Comena) dispose aussi de deux  centres de recherche nucléaire d'Algerie , de Draria et de Birine dans la wilaya de Djelfa.


depuis quelques temps le gouvernement algerien tatonne et programme la construction de centrales nucleaires fonctionnelles en 2020 pour la producrion dit elle de l'electricité (!)


sans oublier les satellites Algeriens mis en basse altitude ce qui montre l'optique militaire a qui ils sont destinée.