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Le President Bouteflika lache du lest

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Le President Bouteflika lache du lest Empty Le President Bouteflika lache du lest

Message par mimouni Ven 4 Fév - 8:51

Dans tous domaines Mr bouteflika parait lacher du lest suite aux evenements qui ont secoué son pays et autres comme la Tunisie, l'Egypte et le yemen.
Il n'est plus question d'optimiser la piste vers la presidence pour son frere, lui non plus annonce ne plus se presenter au prochaine election, reduction des prix de denrées alimentaires, augmentation des salaires etc..
Sur le plan international, Mr Bouteflika parait perdre son enthousiasme pour ses fantasias ²lors des rencontres panafricaines, ce sont ses ministres qui le representent maintenant
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Le President Bouteflika lache du lest Empty Re: Le President Bouteflika lache du lest

Message par mimouni Ven 4 Fév - 8:53

Esperant que ce nouveau comportement aboutira sur quelque chose de concret pour le Maghreb et son union dont Mr bouteflika est le destructeur
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Le President Bouteflika lache du lest Empty demande d aide d urgence

Message par benchohr Ven 25 Fév - 11:50

EN ATTENDANT MOI CA 10 ANS QUE JE COURS POUR MAN CAS ET AU JOUR D AUJOURDHUI RIEN EST FAIS QUI CROIRE TEL EST MA QUESTION?c est dans une situation me concernant,très prèocupante,voire angoissante,que j ai l honneur de vous soumettre ma situation,tous recours amiables aupres des differentes autorités concernées n'ayant abouti a ce jour. Etant de double nationnalite Franco-Algerienne et ayant vécu en france, mon coeur est plutot penchée vers mon pays d'origine. Suite a la mort de mon pere j'ai hérité d'une parcelle de terre qui m'a conduis ma femme et mes enfants à tout abandonner en France pour tout reconstruireen Agerie. En effet l'argument qui nous met en tres grande difficultés aujourdhui est l'absence electrique,serait-ce normal de ne pas vouloir vivre dans l obscurité, ,et je me passe de vous raconter ce que nous pouvons endurer dans la vie de tous les jours mes enfants dans la vie de tous les jours surtout dans cette période hivernale. Nous avons eu des échos sur les differents dispositifs d aide en algérie ,suite a ce nous avons frappés a toute les portes mais jamais de réponse ,je ne vous cache pas ma deception. Aujourdhui j ai trouvé ma stabilité dans mon pays et ma terre ancestrale,je suis qu 'un simple paysans voulant prendre la releve des ancien ,c est une question d honneur et de principe . Mon dernier voeu le plus cher serait une aide de votre part,vous pouvez me diriger vers des personnes compétentes pour rétablir l'électricité dans notre ferme. Nos voisins à 800 métres benificissent de l'éléctrecité ce n est pas normal, ne nous sommes pas les seuls dans cette situation. Je vous remercie vivement pour l'examen bienveillant que vous voudrez bien faire à cette situation.
benchohra boumediene 180 lots ain kermes 14000 la wilaya de tiaret tel 046400516

benchohr
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Message par benchohr Lun 28 Fév - 12:02

c est toujours dans une situation préocupante voir angoissante que j ai l honneur de vous raconter la situation dans laquelle je me trouve aujourdhui.

Tout d abord je me présente benchohra boumediene ne dans les années 1970 fils de paysans agriculteur et dans la vie j ai eu de la chance de pouvoir voyager,decouvrir et choisir le pays ou m installer. J ai grandi en france jusqu a l age de 35 ans tout en restant fidèle a mon pays d origine .j ai batit ma maison dans le sud de la france en croyant que c était la que je trouverai ma stabilité mais malheuresement tout a basculer le jour ou j ai appris la mort de mon père.J ai ressenti un sentiment de manque culturel qui ma conduit a tout quitter en france, j ai vendu tous mes biens pour m investir dans ma terre ancestrale.j ai du prendre une décision brutale et précipité.
Ma femme,mes enfants et moi avons regagnés notre ferme en algerie.
J ai investis dans un élevages de brebis ,quelques vaches, je sème mes terres , j ai planté des oliviers et quelques arbustes en ayant l intention de creuser mon propre puit.
je ne vous cache pas que je croyais trouvé la facilité , alors que je suis qu au début de mes surprises.
j ai demandé auprés des autorités appropriées une demande d aide a l habitation rurale et une autorisation de creuser un puit qui m a été accordé .
Un obstacle est survenu car un membre de ma famille a fait un courrier d opposition qui ne tiens pas la route a la mairie de ain kermes la wilaya de tiaret .
Cela a bien porter ses fruits car tout m a été stoper et quelle coincidence ce menbre travaille a la mairie.
En m appuyant sur ce sujet j aimerai vivement qu on porte un examen a cet situation.
Je vis dans une ferme non raccorder en electrecité je me passe de vous raconter ce que nous pouvons endurez dans la vie de tous les jours avec cette periode hivernale.
Aujourdhui je vois mes arbustes meurtrient sans pouvoir intervenir , le cour d eau est lointain c est le parcour du combattant .
Ma ferme n est pas en bonne et due forme, un drame s est produit cette annee un vieux mur s est écroulé sur une personne de notre entourage et a causé sa mort ,ensouveli dans les décombres la gendarmerie de ain kermes est intervenu il n a pas survecu.
Aujourdhui nous portons toujours des sequelles et la mort du défunt nous a porté des sousis.

Je voudrais réagir sur un autre point ; il est vrai que l algerie est réputé pour son agriculture et ses terres, on nous pousse a quitter les villes pour rejouindre les campagnes en nous offrant l aide a l habitation rurale mais on nous donne pas le choix sur le matériaux agricoles pour qu un bon fonctionnement soit dans les normes .
Nous travaillons les terres avec de vielles methodes qui datent de plusieurs annees en arriere , nous avons aucun moyens puissants que se soit dans les tracteurs la plus part ne dépassent pas 65 chevaux ou que se soit les matériaux .
Moi personnellement j ai un tracteur puissant et allé chercher dans tous le marché algerien vous ne trouverez aucune charrue approprié , aucun sac,aucun gros coover crop, la terre a besoin d etre travailler avec des sacs profonds.alors que ce matériels se jettent en france et on nous interdis de ramener le materiel de l etranger .
Dites moi ou es l envie et l ambition de vouloir poursuivre dans la branche de l agriculture, nous payons le materiel de notre propre moyen , en quoi cela leurs posent il probleme.on devrait changer les lois pour que les vrais paysans s installent.

En bref, resumons ma situation finale ;

-une ferme non raccorder en electrecité

-une terre sans cour d eau

-habitation hors normes

-pas de moyens appropriés

-des arbustes meurtrient

-un élevage assoiffé

-un courrier en obstacle

-une famille dans la précarité

-une mort dans la conscience

et toutes les conséquences qui vont avec .

Comment ne pas etre decourager, c est loin de se que j attendais , croyais moi qu avant tout j aime ma terre et je ne cesse de me souvenir ce que disaient les anciens , c est une question de principe et de dignité pour ne pas stoper les générations avenir.

Aujourdhui c est un desert qui regne dans ma terre et dans mon coeur.

En tout premier rang je souhaite qu on intervienne pour le raccordement de ma ferme qui se trouve aux hassinettes de ain kermes la wilaya de tiaret.

J espere vivement q un examen bienveillant soit fais a ma situation .


je vous prie de bien me croire , a l expréssion de nos sentiments les plus dévoués.


BENCHOHRA BOUMEDIENNE
LES HASSINETTES
AIN KERMES LA WILAYA
DE TIARET
TEL.0796887049
046400516
benchohraaicha@live.fr

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Le President Bouteflika lache du lest Empty APPEL D UN MAHGOUR

Message par benchohr Sam 12 Mar - 6:15

Appel d'un Mahgour


Je m’appelle Boumediene Benchohra, fils d’une famille d’agriculteurs d’Ain Kermès dans la Wilaya de Tiaret.

Ma famille y possède une terre agricole d’une centaine d’hectares.

Jeune j’ ai voulu voyager et me suis installé en France dans la région de Nîmes dans le Sud de la France…

Je m’y suis marié, j’y ai fondé une famille, trouvé un emploi prometteur, dans le transport et j’y ai construit une belle maison.

Mais mes racines restaient vives, et l'appel lancinant du pays natal n'a cessé de me tarauder. On Ne déracine pas aisément un arbre accroché à sa terre, avec toute la vigueur de ses profondes racines.

A la mort de mon père, Je suis rentré au pays, pour lui dire un dernier adieu.
Et j'ai compris, à ce moment là, encore plus fort que je ne l'avais jamais ressenti, que ma place, et celle de ma famille, était là, sur la terre de mes aïeux. A Ain Kermès sur la terre qui avait accueilli lea sépulture de mon père, de mes ancêtres.

Il faut dire que c'était une belle terre, que celle qui était devenue mienne. Un dépôt sacré, transmis par une longue chaîne d'hommes et de femmes qui l'avaaient travaillée, soignée, qui se levaient tôt pour lui prodiguer leur amour, leur labeur, et leur attachement. Et elle leur avait bien rendu l'amour qu'ils lui avaient donné. Elle les avait nourri de ses fruits. Elle leur avait permis de rester dignes, prospères, à l'abri du besoin. Des siècles durant.
Mais délaissée, depuis quelque temps, par la force des choses, et parce que les paysans ne sont plus encouragés, de quelque façon que ce soit, cette terre généreuse souffrait, et se pleurait d'avoir été abandonnée. Elle m'appela, et je répondis à son appel. Mon père, face à de lourdes charges, n'avait rien pu faire pour elle. Il s'était épuisé à la travailler, à l'entretenir, mais son âge, et le manque de moyens l'ont terrassé.
S'occuper d'une si grande surface, vers la fin de sa vie, était au dessus de ses forces.

Alors, j'ai pris mon courage à deux mains, et une décision grave, pour le père de famille que j'étais. Reprendre l'exploitation ancestrale, lui donner ma sueur, celle de ma famille, mes économies, et tout mon espoir.

J'ai donc rompu les amarres avec la France, ce pays qui m'avait accueilli, j'y ai vendu les biens que je possédais en propre, et je suis venu m'installer, avec toute ma famille sur la ferme paternelle.

J’ai pris une grande décision celle de revenir en Algérie et d‘exploiter cette terre qui pourrait faire profiter les miens, donner du travail aux gens de la région et nourrir des familles …

J ai investi dans un élevage de brebis, quelques vaches, un tracteur, j’ai semé mes terres de blé et planté des oliviers, donné du travail à des gens.

Le point d’eau étant très éloigné, j’ai entrepris de demander aux autorités une demande d aide à l ‘habitation rurale, et une autorisation pour creuse creuser un puits, condition incontournable, pour pouvoir faire prospérer mon exploitation. Des promesses m'ont été faites, depuis plus d'une année. J'attends toujours.

J’ai demandé le raccordement électrique à un poste éloigné de 800 mètres seulement. Cela fait des années que j'attends.

Aucune possibilité donc, d'abreuver convenablement mes bêtes et d'arroser mes terres…

Ruiné par des investissements qui n'ont pas pu être fructifiés, en l'absence des moyens que j'avais sollicités, et que j'attends toujours, je me suis retrouvé au milieu du gué, sans jeu de mots.
Je ne peux plus, ni avancer, ni reculer. Ni faire prospérer une exploitation prometteuse, ni retourner en France.

On dit pourtant, à longueur de discours lénifiants, que l'Etat attache la plus haute importance à l'agriculture, et qu'il tend une main secourable à toutes les bonnes volontés. Des prêts faramineux sont accordés à des gens qui spéculent dans le domaine, et qui n'ont rien à voir avec le paysannat, pendant que des gens comme moi sont livrés à leur propre sort. Pendant que des escrocs et des "investisseurs" raflent la mise, en sommes mirifiques, qu'ils ne remboursent même pas, les vrais paysans, comme moi, passent leur temps entre un bureau et un autre, à remplir des piles de documents, sans autre résultat que de vagues promesses.

C'est dans cet état d'esprit, Monsieur le Président de la République, et parce que je suis réduit à mes dernières extrémités, jusqu'à vendre mon cheptel pour nourrir ma famille, que je vous lance un appel au secours. Aidez-moi, Monsieur le président. Aidez moi à faire revivre ma belle terre, une portion de notre belle Algérie.
Je sais que vous êtes un homme de coeur, et un président sincère et bon, qui aime son pays, et qui sait reconnaître la valeur des hommes de bonne volonté.
Mettez fin, Monsieur le Président, à cette bureaucratie qui m'enfonce dans le désespoir.
Je ne veux pas abandonner ma terre. Je veux pas retourner dans un pays qui n'est pas le mien. Ma terre ne le veut pas. Elle me retient de toute la force qui subsiste en elle.

J’aime ma terre et je ne le résous pas à négliger le dépôt sacré, la "Amana". Ce serait comme si j’abandonnais mes propres enfants.

Je veux revivifier cette terre qui retourne lentement vers la désertification, créer de l’emploi et même exporter une partie de mes produits vers l’Europe. Je peux le faire. J'ai juste besoin d'aide. J'ai juste besoin que mon pays me consente ma part de richesse, pour la faire fructifier, et lui rendre le bien qu'elle m'aura accordé.

Ma femme,mes enfants qui ont toujours vécu en ville, dans le confort moderne. Ils se retrouvent aujourd'hui dans des conditions au moyenâgeuses, dans une maison sans électricité,sans eau,sans aucun confort, aussi sommaire soit-il. Et je n'ai plus de quelconque moyen d'investir, ne serait-ce que pour des conditions de vie décente.

Au nom de tous ceux qui sont morts pour ce pays, pour que nous puissions jouïr du fruit de notre terre, au nom de vos compagnons, morts en chouhadas, je vous appelle à mon secours, Monsieur le Président.

Je sollicite seulement, Monsieur le Président, qu’un responsable prenne mes requêtes en charge. Un raccordement électrique, une autorisation pour creuser un puit et une aide financière.

Qu’ Allah nous facilite nos taches et nous accorde le bien…

BENCHOHRA BOUMEDIENNE
LES HASSINETTES
AIN KERMES LA WILAYA
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EMAIL : benchohraaicha@live.fr

benchohr
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Message par benchohr Mar 15 Mar - 22:45

A L ADRESSE DE SON EXELENCE LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE





C est dans une situation me concernant ,trés préocupante ,voire angoissante a plus d un titre ;que j ai l honneur de vous soumettre mon dossier ,tous recours amiables aupres des differentes autorites concernées n ayant abouti à ce jour.

Je m’appelle Boumediene Benchohra, fils d’une famille d’agriculteurs d’Ain Kermès dans la Wilaya de Tiaret.

Ma famille y possède une terre agricole d’une centaine d’hectares.

Jeune j’ ai voulu voyager et me suis installé en France dans la région de Nîmes dans le Sud de la France…

Je m’y suis marié, j’y ai fondé une famille, trouvé un emploi prometteur, dans le transport et j’y ai construit une belle maison.

Mais mes racines restaient vives, et l'appel lancinant du pays natal n'a cessé de me tarauder. On Ne déracine pas aisément un arbre accroché à sa terre, avec toute la vigueur de ses profondes racines.

A la mort de mon père, Je suis rentré au pays, pour lui dire un dernier adieu.
Et j'ai compris, à ce moment là, encore plus fort que je ne l'avais jamais ressenti, que ma place, et celle de ma famille, était là, sur la terre de mes aïeux. A Ain Kermès sur la terre qui avait accueilli lea sépulture de mon père, de mes ancêtres.

Il faut dire que c'était une belle terre, que celle qui était devenue mienne. Un dépôt sacré, transmis par une longue chaîne d'hommes et de femmes qui l'avaaient travaillée, soignée, qui se levaient tôt pour lui prodiguer leur amour, leur labeur, et leur attachement. Et elle leur avait bien rendu l'amour qu'ils lui avaient donné. Elle les avait nourri de ses fruits. Elle leur avait permis de rester dignes, prospères, à l'abri du besoin. Des siècles durant.
Mais délaissée, depuis quelque temps, par la force des choses, et parce que les paysans ne sont plus encouragés, de quelque façon que ce soit, cette terre généreuse souffrait, et se pleurait d'avoir été abandonnée. Elle m'appela, et je répondis à son appel. Mon père, face à de lourdes charges, n'avait rien pu faire pour elle. Il s'était épuisé à la travailler, à l'entretenir, mais son âge, et le manque de moyens l'ont terrassé.
S'occuper d'une si grande surface, vers la fin de sa vie, était au dessus de ses forces.

Alors, j'ai pris mon courage à deux mains, et une décision grave, pour le père de famille que j'étais. Reprendre l'exploitation ancestrale, lui donner ma sueur, celle de ma famille, mes économies, et tout mon espoir.

J'ai donc rompu les amarres avec la France, ce pays qui m'avait accueilli, j'y ai vendu les biens que je possédais en propre, et je suis venu m'installer, avec toute ma famille sur la ferme paternelle.

J’ai pris une grande décision celle de revenir en Algérie et d‘exploiter cette terre qui pourrait faire profiter les miens, donner du travail aux gens de la région et nourrir des familles …

J ai investi dans un élevage de brebis, quelques vaches, un tracteur, j’ai semé mes terres de blé et planté des oliviers, donné du travail à des gens.

Le point d’eau étant très éloigné, j’ai entrepris de demander aux autorités une demande d aide à l ‘habitation rurale, et une autorisation pour creuse creuser un puits, condition incontournable, pour pouvoir faire prospérer mon exploitation. Des promesses m'ont été faites, depuis plus d'une année. J'attends toujours.

J’ai demandé le raccordement électrique à un poste éloigné de 800 mètres seulement. Cela fait des années que j'attends.

Aucune possibilité donc, d'abreuver convenablement mes bêtes et d'arroser mes terres…

Ruiné par des investissements qui n'ont pas pu être fructifiés, en l'absence des moyens que j'avais sollicités, et que j'attends toujours, je me suis retrouvé au milieu du gué, sans jeu de mots.
Je ne peux plus, ni avancer, ni reculer. Ni faire prospérer une exploitation prometteuse, ni retourner en France.

On dit pourtant, à longueur de discours lénifiants, que l'Etat attache la plus haute importance à l'agriculture, et qu'il tend une main secourable à toutes les bonnes volontés. Des prêts faramineux sont accordés à des gens qui spéculent dans le domaine, et qui n'ont rien à voir avec le paysannat, pendant que des gens comme moi sont livrés à leur propre sort. Pendant que des escrocs et des "investisseurs" raflent la mise, en sommes mirifiques, qu'ils ne remboursent même pas, les vrais paysans, comme moi, passent leur temps entre un bureau et un autre, à remplir des piles de documents, sans autre résultat que de vagues promesses.

C'est dans cet état d'esprit, Monsieur le Président de la République, et parce que je suis réduit à mes dernières extrémités, jusqu'à vendre mon cheptel pour nourrir ma famille, que je vous lance un appel au secours. Aidez-moi, Monsieur le président. Aidez moi à faire revivre ma belle terre, une portion de notre belle Algérie.
Je sais que vous êtes un homme de coeur, et un président sincère et bon, qui aime son pays, et qui sait reconnaître la valeur des hommes de bonne volonté.
Mettez fin, Monsieur le Président, à cette bureaucratie qui m'enfonce dans le désespoir.
Je ne veux pas abandonner ma terre. Je veux pas retourner dans un pays qui n'est pas le mien. Ma terre ne le veut pas. Elle me retient de toute la force qui subsiste en elle.

J’aime ma terre et je ne le résous pas à négliger le dépôt sacré, la "Amana". Ce serait comme si j’abandonnais mes propres enfants.

Je veux revivifier cette terre qui retourne lentement vers la désertification, créer de l’emploi et même exporter une partie de mes produits vers l’Europe. Je peux le faire. J'ai juste besoin d'aide. J'ai juste besoin que mon pays me consente ma part de richesse, pour la faire fructifier, et lui rendre le bien qu'elle m'aura accordé.

Ma femme,mes enfants qui ont toujours vécu en ville, dans le confort moderne. Ils se retrouvent aujourd'hui dans des conditions au moyenâgeuses, dans une maison sans électricité,sans eau,sans aucun confort, aussi sommaire soit-il. Et je n'ai plus de quelconque moyen d'investir, ne serait-ce que pour des conditions de vie décente.

Au nom de tous ceux qui sont morts pour ce pays, pour que nous puissions jouïr du fruit de notre terre, au nom de vos compagnons, morts en chouhadas, je vous appelle à mon secours, Monsieur le Président.

Je sollicite seulement, Monsieur le Président, qu’un responsable prenne mes requêtes en charge. Un raccordement électrique, une autorisation pour creuser un puit et une aide financière.

Qu’ Allah nous facilite nos taches et nous accorde le bien…

Je vous prie d agréer, Monsieur le president, l expression de ma plus haute consideration.




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Message par abass Jeu 7 Juil - 2:10

Mon fre l'algerien benchohr, je pense qu'il est temps que tu contactes le psy le plus proche pour te faire soigner. Tu es tout le temps a gueuler sur les forums et les salir par tes posts bidons ..
Quand est ce que tu comprendras que les CHIENS ABOIENT et la CARAVANE passe !

abass
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Le President Bouteflika lache du lest Empty adresse de Mr Bouteflika

Message par abass Jeu 7 Juil - 2:14

mon confrere benchohra, pas la peine de polluer notre forum
ecris a Mr Bouteflika directement, voici son adresse:
 
Présidence de la république
El mouradia
16003 Alger

abass
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