L'Occident carbure le terrorisme

Quand les pirates de Somalie demandent des milliards pour liberer leur prise et que l'Europe favorablement a leur demande cela ne fait que fournir les moyens et la logistique aux membres d'Alqaeda pour optimiser leurs services de recrutements et optimiser leur stratégie.

Les Otages Français au Mali constitue une source d'enrichissement prioritaire pour Alqaeda, Plusieurs institutions et services a travers le monde se sont mobilisés pour leur liberation et Alqaeda compte bien en tirer un maximum de profit.
La Françe ne peut reculer et refuser de verser des milliards car sa politique l'exige, et cela risque encore de donner plus de moyen aux terroristes pour agir et se mobiliser, amplifier leurs opeartions et etandre leur couverture securitaire.

un texte du Figaro:

La diplomatie française ne "néglige aucun effort" pour faire libérer les otages français enlevés le 16 septembre au Niger, et reste "en contact étroit" avec leurs familles, a assuré le Quai d'Orsay, en réponse à leur message exprimant la crainte qu'ils ne soient oubliés.

Ces familles ont transmis un texte au quotidien Ouest-France qui l'a publié vendredi, veille de Noël, pour qu'"on n'oublie pas" leurs proches. Elles y relevent que leur enlèvement a été "très peu médiatisé" à la différence de celui des deux journalistes de France 3 en Afghanistan.
Interrogé sur ce message collectif des familles et sur la possibilité de médiatiser davantage leur sort, le porte-parole du Quai d'Orsay Bernard Valero a rappelé une nouvelle fois que "la discrétion est un paramètre important de l'action que nous menons".

M. Valero a aussi souligné que le ministère est en "contact étroit" avec les familles, via son centre de crise.
Les cinq Français, ainsi qu'un Togolais et un Malgache, pour l'essentiel des collaborateurs des groupes français Areva et Satom, ont été enlevés le 16 septembre à Arlit dans le nord du Niger, un site d'extraction d'uranium. Ils seraient détenus dans le nord-est du Mali.
Huit Français sont détenus dans le monde, cinq au Sahel, deux en Afghanistan et un en Somalie.

Enfin, l'occident se rend compte du danger et prive les combattants Suriens des armes par peur qu'elles soient détournées vers les reseaux terroristes