Peuples et Coutumes indiluables

vers 1830 le susteme colonialiste Français a mis la main sur l'Algérie. La structure en ce temps de la nation Algerienne est basée sur la tribu et l'administration traditionnelle tribale, le colon as'est attaqué en premier lieu a detruire ce systeme efficace et impenetrable. Tres vite il a crée et executé des methodes qui ont dicéliné les tribus:
confiscation des terres, emprisonnement, eloignement et disoertion des membres de familles ..

Lors des emuetes en kabylie il y a moins de 10 ans , on a l'impression que rien n'a chanhé chez nos voisins.
Les communautés et les minorités sont toujours ignorées ou imbibées forcement et malgré par la doctrine etatique qui en on fait des valets du pouvoir.

Nous ne voulons pas personnellement intervenir dans ce sujet delicat politiquement malgré notre connaissance des abus sur le peuple Kabyle et la souffrance qu'il endure face a un régime qui refuse meme de reconnaitre l'existence de peuple, mais, nous allons nous contenter du minimum emprunté aux media amis de l'Algérie/
Trentième anniversaire du printemps kabyle en Algérie
La Kabylie, région montagneuse où les enlèvements se multiplient. Un octogénaire a été libéré par ses ravisseurs le 17 avril dans la région de Tizi Ouzou, après 26 jours de détention. Ait-Yanni/la-kabilie.com




Par RFI

Ce mardi 20 avril 2010, c'est le trentième anniversaire du printemps berbère en Algérie. Plusieurs marches populaires sont organisées dans les wilayas de Tizi Ouzou, Béjaïa, Bouira, Boumerdès et Batna à l'appel du RCD, le Rassemblement pour la culture et la démocratie et du MAK, le Mouvement pour l'autonomie de la Kabylie. Des marches pour commémorer la révolte contre le pouvoir le 20 avril 1980 en Kabylie.....

L'Imzad :
La plupart des poèmes font des louanges à la beauté de la femme.
L'Imzad est condamné a disparaitre parce que ce n'est pas seulement une musique mais un SYMBOLE, celui d'un peuple.
cette musique est un patrimoine immatériel de l’Ahaggar et du Tassili, joué exclusivement par les femmes, dans le Tassili N’Ajjer et dans l’Ahaggar, au Niger, au Mali et en Libye

Les Touaregs algériens se mobilisent pour revendiquer un statut d'autonomie

Les Touaregs algériens se mobilisent pour revendiquer un statut d'autonomie (journal)
Rabat, 18/07/07 - Des sahraouis du sud de l'Algérie se mobilisent pour demander aux autorités algériennes de leur accorder un statut d'autonomie dans la région d'où sont originaires les Touaregs, rapporte mercredi le quotidien Assabah.

Cette revendication est formulée par les populations d'une région habitée par les Touaregs et qui est riche en pétrole et en gaz et dont les revenus ne leur profitent pas, souligne la publication, ajoutant que cette situation a amené nombre de Touaregs à mettre en place des cellules armées pour mener des actes de rébellion dans cette région.

Citant des sources "informées", le journal indique que cette revendication d'un statut d'autonomie "se trouve à un stade avancé avec l'annonce de la création du +conseil régional provisoire de coordination et de suivi+, dont l'objectif et d'attirer l'attention des autorités algériennes sur la question des Touaregs, qui constituent une force importante dans le sud du Sahara algérien".

"Pressentant les dangers de cette initiative, l'institution militaire algérienne a entrepris de récupérer les rebelles du sud et à les incorporer au sein de l'armée algérienne tout en approchant les chioukhs Touaregs afin de couper court aux aspirations autonomistes de cette catégorie de Sahraouis", ajoutent les mêmes sources, citées par Assabah.

les Touaregs du sud de l'Algérie "ont constitué des milices armées menant une rébellion dans le sud après que nombre parmi eux aient refusé d'intégrer les rangs de l'armée algérienne en dépit de la multiplication des appels dans ce sens arguant de la nécessité de protéger cette région par des forces régulières dont les membres sont issus des populations Touaregs elles-mêmes, poursuit la publication. Ces appels n'ont pas reçu le large écho escompté à cause de la persistance des revendications d'un statut d'autonomie dans cette région qui regorge de richesses minières considérables exploitées par l'Algérie sur une étendue allant de Inamenas à Tamanrasset, précise le journal.

La recrudescence des risques que représente le mouvement Touareg a poussé les autorités algériennes à leur fournir un soutien matériel et logistique outre le contrôle de la région afin de circonscrire les aspirations séparatistes que commencent à nourrir ces milices.

<H1 class=entry-title>Idebir Ahmed. Amenokal des Touareg :

</H1>

La situation sécuritaire au sud du pays inquiète, l’amenokal des Touareg, Idebir Ahmed, dans l’entretien qu’il nous a accordé chez lui à Tamanrasset, revient sur les « manipulations » de certains pays voisins et affirme que la question du Sahara algérien a été tranchée avant l’indépendance du pays.



......

Le Sud algérien est classé par les Français comme une zone dangereuse tout autant que le nord du Mali, du Niger et de la Mauritanie. Pensez-vous que c’est le cas ?



Pensez-vous que cette politique a été délibérée dans le but de casser cette cohésion communautaire ?

Je reste convaincu que cela a été fait exprès dans le but de rendre la situation impossible à maîtriser. Nous connaissons tous ceux qui demandent la nationalité algérienne. Nous avons la liste de tous ceux qui sont venus durant les années 1981-82-83, à la suite de la grande sécheresse qui a sévi dans la région du Sahel. Avant, lorsqu’une seule personne s’introduisait du côté de l’Askrem, quelques heures plus tard, les gendarmes étaient informés et se déplaçaient sur les lieux pour s’enquérir de cette présence. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas, parce qu’il y a plus d’étrangers dans la région que de Touareg. La cohabitation entre eux est plus formelle que réelle…



quelque fragment de l'interview sur



http://www.azawad-air.com